Une servante démissionne après une découverte macabre dans la douche de son patron
Une femme de ménage a quitté précipitamment son emploi à Douala, affirmant avoir découvert un serpent dans la douche de son patron, qui s’est avéré être une chaîne.
Selon le Cameroon Tribune, la femme de ménage a décidé de quitter son emploi bien qu’elle reçoive un salaire décent.
Dans une déclaration au Groupement de gendarmerie territoriale de Douala (basé à Bessekè) le samedi 18 février, Alvine, une femme au foyer de 29 ans, a déclaré avoir vu un serpent dans la douche de son employeur, un homme d’une quarantaine d’années qui est habituellement présent les week-ends. C’était un serpent d’un genre différent, car il s’agissait… d’une chaîne.
Selon les informations obtenues par CT, Alvine, qui travaille du mardi au dimanche dans un foyer à Bonanjo (Douala 1), était au travail ce jour-là. La maîtresse de maison lui a demandé d’aller nettoyer la douche de sa chambre après le départ du maître. Le patron avait quitté la maison quand Alvine a commencé cette autre tâche. En travaillant dans la salle de bains, la ménagère remarque le porte-savon et pense qu’il doit être nettoyé. Il y a une chaîne dessus. Alvine la déplace avant de le frotter. Le bijou se transforme alors : la ménagère tient maintenant un serpent.
En plein milieu
Terrifiée, Alvine hurle et laisse tomber l’objet (ou la créature), puis sort en courant de la douche, de la chambre, de la maison et du portail. L’agent de sécurité en service est interloqué, et certains de ses collègues du voisinage, alertés par les cris, accourent. La maîtresse de maison n’a pas eu le temps de demander ce qui se passait. C’est aux gardes à l’extérieur que la servante, reprenant son souffle et essayant tant bien que mal de se remettre de sa frayeur, raconte ce qu’elle a vu (ou cru voir). La petite foule voit alors arriver en trombe la voiture du patron d’Alvine.
Sans prêter attention aux personnes présentes dans la foule, il est entré dans sa maison, en est ressorti après un court instant, a démarré sa voiture et est reparti. Alvine quitte son travail, qui était pourtant bien rémunéré. Son patron lui a envoyé les pantoufles qu’elle avait laissées derrière elle lorsqu’elle s’était réfugiée à la gendarmerie.