« J’ai senti la balle déchirer la peau », Donald Trump brise le silence après la tentative d’assassinat
Lomé Actu, 14 juillet 2024 – À la suite d’une tentative d’assassinat choquante, l’ancien président Donald Trump a publié une déclaration mêlant gratitude, condoléances et incrédulité. Cet incident, le premier du genre depuis l’attentat contre Ronald Reagan en 1981, a laissé la nation sous le choc et a déclenché d’intenses discussions sur la violence politique et la sécurité.
La déclaration de Trump commence par un sincère remerciement aux services secrets et aux forces de l’ordre des États-Unis pour leur réponse rapide. Leur action rapide a sans aucun doute évité ce qui aurait pu être un problème encore plus tragique.
Donald Trump pleure les innocents après la tentative d’assassinat
Dans une démonstration d’empathie, Trump a présenté ses condoléances aux familles touchées par la violence. Sa reconnaissance des pertes en vies humaines et des blessures graves subies par un autre participant souligne le coût humain de cette violence politique, nous rappelant à toutes les conséquences concrètes de tels actes.
En publiant sur sa plateforme de médias sociaux, Truth social, Donald Trump a écrit :
Je tiens à remercier les services secrets des États-Unis et l’ensemble des forces de l’ordre pour leur réponse rapide à la fusillade qui vient d’avoir lieu à Butler, en Pennsylvanie. Plus important encore, je tiens à présenter mes condoléances à la famille de la personne présente au rassemblement. qui a été tué, ainsi qu’à la famille d’une autre personne qui a été grièvement blessée.
« C’est incroyable qu’un tel acte puisse avoir lieu dans notre pays.
« On ne sait rien pour le moment du tireur, qui est désormais mort.
« J’ai reçu une balle qui a transpercé la partie supérieure de mon oreille droite. J’ai immédiatement su que quelque chose n’allait pas dans la mesure où j’ai entendu un sifflement, des coups de feu et j’ai immédiatement senti la balle déchirer la peau.
« De nombreux saignements ont eu lieu, alors j’ai réalisé ce qui se passait. QUE DIEU BÉNISSE L’AMÉRIQUE
