Une université africaine rend la présence d’un(e) fiancé(e) lors des soutenances obligatoire
Kinshasa, 23 août 2023 (Lomeactu) – L’Université Catholique de Bukavu (UCB) est une université privée de la République démocratique du Congo. Elle aurait récemment pris une directive particulière concernant les cérémonies de soutenance de thèse de ses étudiants.
Selon les informations disponibles, cette université aurait instauré l’obligation pour les étudiants en phase terminale de leurs études de se présenter aux soutenances accompagnés de leur partenaire.
À ce jour, il n’y a pas eu de communication officielle de l’université pour confirmer ou réfuter cette décision. Cependant, cette mesure a déjà suscité des discussions sur les plateformes en ligne.
Pourquoi une telle règle ?
La décision d’exiger la présence d’un(e) fiancé(e) lors des soutenances, selon le communiqué daté du 22 août 2023 attribué à l’UCB, repose sur deux motivations principales.
Tout d’abord, cette règle aurait pour objectif d’assurer une sécurité renforcée lors des événements universitaires. La présence des fiancé(e)s serait envisagée comme une mesure préventive pour créer un environnement plus sécurisé et serein lors de ces cérémonies.
De plus, cette nouvelle directive aurait pour but de promouvoir les valeurs familiales. En encourageant la participation des partenaires lors des soutenances, l’UCB pourrait souhaiter mettre en avant l’importance des liens familiaux et amoureux dans le parcours académique des étudiants.
Ces deux raisons semblent être à la base de la décision de l’UCB d’imposer la présence des fiancé(e)s lors des soutenances.
Profitant de cette opportunité, l’université aurait également encouragé les étudiants qui ne sont pas encore fiancé(e)s à entreprendre la recherche d’un(e) partenaire avant leur soutenance.
Un environnement plus rassurant
Ces initiatives témoigneraient de l’intention de l’université de créer un environnement plus rassurant pour les étudiants, tout en soulignant l’importance des liens familiaux dans leur parcours académique.
Il convient de noter que, depuis la publication du communiqué, aucune déclaration officielle de l’université n’a été faite pour contredire cette information. Si l’Université Catholique de Bukavu adoptait effectivement cette directive, cela marquerait un tournant historique dans le domaine de l’éducation.
Une telle initiative serait sans précédent en Afrique et potentiellement dans le monde entier.
