Quel homme peut-on appeler « Garçon Princesse » et comment les reconnaitre ?
Lomé, 24 aout 2023 (Lomé Actu) –Après le phénomène des « Garçon à maman », une autre forme d’appellation pour illustrer un nouveau type d’homme voit le jour sur les réseaux sociaux. « Garçon Princesse » c’est le nouveau surnom accordé à un certain type d’hommes pour une raison bien précise.
Beaucoup de femmes ont encore l’image de cet homme autoritaire, indépendant et qui fait face à ses responsabilités. C’est-à-dire qui s’implique dans le couple, qui montre qu’elle tient à elle et ne montre pas des signes de faiblesse. Fini cette époque, la réalité est tout autre aujourd’hui.
Le terme princesse est vécu comme une humiliation pour de nombreux hommes et vu par les femmes comme une aubaine de montrer la transformation négative que la société exerce sur les hommes de nos jours. Ainsi, ce phénomène ne cesse de prendre de l’ampleur, et est devenu un sujet de débats et de questionnements sur la toile. De quoi faire resurgir une interrogation existentielle. Qui peut-on appeler garçon princesse ?
C’est quoi un « Garçon Princesse »
Le surnom « Garçon Princesse » est apparu, il n’y a pas, longtemps. C’est un mouvement qui tire son essence de la plateforme TikTok. Par définition, un garçon princesse est tout homme qui commence à prendre plaisir à manifester les comportements jusqu’ici attribués aux femmes.
Reconnaitre un homme princesse n’est pas toujours facile. Si vous êtes arrivé jusqu’à cet article, c’est justement parce que vous rencontrez cette problématique. Attachez votre ceinture.
La première clé pour savoir si vous êtes un homme princesse est simple. Ces hommes ont du mal à faire la distinction entre leur partenaire et leur amie. Ce qui entraîne un manque de responsabilité et d’indépendance. Dans certains cas, cela peut aller jusqu’à des caprices. Qu’il s’agisse de dicter le rythme de la relation ou d’avoir son mot à dire sur des décisions importantes, il disparait.
Pour le moment, aucun homme ne se tague d’être une princesse. Le privilège revient aux femmes qui collent l’étiquette.