Faure Gnassingbé : Au Sommet de Luanda, le PCM lance un appel urgent à toute l’Afrique

Of course. Here is the article rewritten in an original, SEO-friendly style for Actu Lomé, with a catchy title and clear paragraphs. *** **Catchy Title: State Land Security: MMLK Calls for Transparency and Protection of Citizen Rights** **H2: A Call for Equity in Government Land Initiative** The Martin Luther King Movement (MMLK) has acknowledged the government's recent initiative to secure public land and protect state administrative reserves. While recognizing the merit of the operation, the movement is urging authorities to conduct the process with a strong emphasis on transparency, fairness, and justice. This, they argue, is crucial to safeguard the legitimate rights of citizens who may be affected by the new measures. **H2: An Urgent Appeal to Citizens with Land Documents** In a public statement, the MMLK issued a direct appeal to all citizens who possess official documents justifying their occupation of land in these administrative reserves. The movement strongly advises these individuals to promptly submit their paperwork to the technical services of their respective town halls. This proactive step, the MMLK emphasizes, is essential for people to formally assert their rights within the framework of the ongoing government census of state land. **H2: Addressing Public Anxiety and Systemic Failures** The installation of "ATTENTION: STATE DOMAIN – DO NOT RISK IT" signs has sparked understandable anxiety among residents in the concerned zones, many of whom have sought the MMLK's guidance. The movement points out that these concerns are often rooted in long-standing systemic issues. They highlighted persistent weaknesses in the land registry and property services, whose failures have historically led to irregular occupations, sometimes by citizens who acquired land in good faith after consulting the very authorities now in charge. **H2: A Deeper Structural Challenge in Land Governance** Beyond the current operation, the MMLK drew attention to a deeper, structural problem in Togo's land governance. They noted that despite the adoption of a new Land Code, the country continues to grapple with complacency, a proliferation of illegal land sales, and a judicial system that struggles to penalize fraudulent sellers, some of whom are linked to traditional authorities. The movement called for lessons to be learned to prevent a recurrence of these issues in rapidly expanding areas like Adétikopé, Djagblé, and Avéta. **H2: Advocating for Humane and Equitable Solutions** Reaffirming its commitment to defending citizens acting in good faith, the MMLK pledged to support all efforts aimed at establishing a just, responsible, and transparent land management system. The movement concluded by encouraging the pursuit of humane and equitable solutions that respect human dignity and social justice, ensuring that the securing of public land becomes an instrument of public trust rather than a source of fear for the population.

Le Président du Conseil, Faure Gnassingbé, a joué un rôle central lors du 3ᵉ Sommet de Luanda sur le financement des infrastructures en Afrique, qui s’est tenu le 28 octobre 2025.

Placé sous le thème « Capitaux, corridors, commerce : investir dans les infrastructures pour la ZLECAf et la prospérité partagée », ce sommet a réuni les dirigeants africains afin d’élaborer des stratégies de financement des infrastructures essentielles au fonctionnement de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf). Le Président Gnassingbé a profité de cette tribune pour délivrer un message fort sur la nécessité de l’autonomie financière et de l’investissement stratégique pour bâtir une Afrique intégrée et souveraine.

Faure Gnassingbé appelle à exploiter les vastes ressources financières de l’Afrique

Un pilier central du discours du Président Gnassingbé était la mobilisation urgente des capitaux africains. Il a fait valoir que le continent possède déjà les ressources financières nécessaires, mais qu’il ne parvient pas à les investir de manière productive sur son territoire.

Lire aussi  Lomé : vers la fin des embouteillages sur deux axes majeurs de Lomé

« Notre continent dispose de ressources financières considérables. Elles sont dans nos fonds de pension, nos fonds souverains, nos compagnies d’assurance et notre épargne domestique. Mais une grande partie de ce capital reste peu investie ou investie hors d’Afrique et souvent dans des actifs à faible impact productif. Nous devons inverser cette logique. Il est temps de créer les mécanismes capables de canaliser ces ressources africaines vers nos infrastructures régionales, industrielles et énergétiques », a-t-il déclaré.

Les corridors, artères du commerce intra-africain

Le PCM a souligné que les infrastructures physiques, routes, voies ferrées, ports et réseaux numériques,doivent servir d’artères au commerce. Il a mis en lumière l’importance stratégique des corridors économiques, partageant l’expérience togolaise en matière de développement de corridors comme modèle. Il a expliqué qu’un corridor fonctionnel réduit les coûts logistiques et les délais de transit, transformant ainsi la géographie économique de la région.

Lire aussi  Salaire des maires au Togo : découvrez combien gagnent vraiment vos élus !

Cependant, il a insisté sur le fait que cela exige plus que de simples constructions ; il faut également harmoniser les procédures douanières, numériser les infrastructures et simplifier la réglementation pour que celles-ci deviennent de véritables vecteurs de valeur.

Faire de la Zone de libre-échange africaine une réalité tangible

Établissant un lien direct entre les infrastructures et la réussite de la ZLECAf, le Président a souligné que cet accord commercial historique resterait une ambition théorique sans infrastructures performantes et interconnectées. « Sans infrastructures performantes, cette ambition restera théorique », a-t-il déclaré.

Il a affirmé que des routes fluides, des ports efficaces, une énergie stable et des réseaux numériques interopérables constituent les connexions concrètes nécessaires pour permettre la libre circulation des biens, des idées et des talents, faisant ainsi de la ZLECAf un puissant moteur d’industrialisation, de création d’emplois et de compétitivité continentale.

Lire aussi  Togo : liste des 14 nouveaux députés ayant pris fonction

Enfin, le Président Gnassingbé a insisté sur la qualité et la durabilité des investissements futurs. Il a plaidé pour des infrastructures résilientes aux chocs climatiques, intégrant les énergies propres et gérées de manière transparente. Il a déclaré : « Construire, c’est bien. Mais construire mieux, est essentiel. Nos infrastructures doivent être durables, résilientes et bien entretenues. Elles vont devoir résister aux chocs climatiques, intégrer les énergies propres et soutenir la transition verte du continent. Elles doivent aussi être gouvernées avec rigueur. »

En coordonnant ses actions, en mutualisant ses ressources et en instaurant la confiance entre les États, l’Afrique peut enfin financer sa propre intégration et sa prospérité partagée, en plaçant ses populations au cœur même de toute politique de développement.

Rejoins notre chaîne WhatsApp
Moov Buzz