À quelques semaines des élections législatives et régionales au Togo, l’Alliance des démocrates pour le développement intégral (ADDI) se prépare à présenter ses candidats malgré un paysage politique de plus en plus encombré.
Comme bon nombre de partis de l’opposition, l’ADDI cherche à s’imposer sur la scène électorale, mais doit faire face à une offre pléthorique de candidatures concurrentes.
Parmi les griefs adressés au gouvernement, l’ADDI pointe du doigt l’absence de concertation quant au découpage électoral, alimentant ainsi les tensions préélectorales. Malgré cela, le parti se montre ouvert à des alliances locales avec d’autres formations politiques dans l’espoir de renforcer ses chances de succès.
Cependant, cette stratégie ne semble pas susciter un engouement majeur au sein de l’opposition. Chaque parti poursuit son propre objectif : maximiser le nombre d’élus.
L’ADDI et les autres partis de l’opposition sont confrontés à un défi de taille : celui de se démarquer dans un environnement politique saturé.
Alors que les critiques fusent à l’égard du gouvernement, les formations politiques doivent également faire face à des questions internes et stratégiques pour espérer influencer le paysage politique togolais.
