Côte d’Ivoire-CAN 2023 : Le gouvernement désigne Didi B pour une mission spéciale
L’époux de Sarai d’Hologne se prépare pour son prochain concert qui aura lieu en février à l’Olympia de Paris. Ce concert marquera le deuxième après celui de la salle Elysée Montmartre en février 2023.
Mais avant de divertir son public parisien, Didi B a été choisi pour utiliser son influence afin de combattre le paludisme, notamment à l’occasion de la CAN 2023.
Le rappeur ivoirien, Didi B a été nommé Ambassadeur de la lutte contre le paludisme dans son pays. L’artiste a lui même partagé l’information sur ses comptes sociaux.
Dans un message sur sa page Facebook, le rappeur a exprimé sa gratitude envers le Ministère de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle ainsi que son partenaire RBM.
Membre du groupe Kiff No Beat, Didi B s’engage aux côtés du Ministère de la Santé, de l’Hygiène Publique et de la Couverture Maladie Universelle dans la lutte contre le paludisme, une maladie qui fait de nombreuses victimes, en particulier parmi les enfants en Afrique et en Côte d’Ivoire. Il a été désigné comme le Nouvel Ambassadeur de la campagne Zéro Paludisme en Côte d’Ivoire, baptisée « FC Zéro Palu ».
Avant le coup d’envoi de la 34ème édition de la CAN 2023 en Côte d’Ivoire, Didi B a exprimé sa satisfaction d’avoir été choisi dans un post sur sa page Facebook. Il a déclaré : « ’Je suis ravi de donner ma voix à la lutte contre le paludisme et de soutenir les efforts du Partenariat RBM. Merci au Ministre de la Santé de Côte d’ivoire son Excellence Pierre N’gou Dimba de m’avoir choisi en tant que Nouvel Ambassadeur. Il est inacceptable que cette maladie continue de tuer un enfant chaque minute. Les jeunes en Afrique doivent comprendre qu’ils ont un rôle à jouer dans cette lutte importante. Le paludisme entrave notre créativité et notre capacité à briller et à réaliser nos rêves, et nous devons l’éliminer définitivement. Rejoignez notre équipe Zéro Palu durant cette CAN pour sensibiliser nos invités notamment aux bonnes pratiques. Ensemble pour une CAN sans paludisme »