Alerte : Le Togo confirme un premier cas de variole du singe (Mpox) à Lomé

Bannière Actu Lomé

Le gouvernement togolais a confirmé un cas de variole du singe (Mpox) dans le district sanitaire du Golfe du Grand Lomé.

La patiente, une femme de 22 ans, est actuellement hospitalisée dans un service de maladies infectieuses. Les autorités sanitaires ont rapidement mis en œuvre des mesures préventives pour contenir une éventuelle propagation.

Qu’est-ce que la Mpox ou la variole du singe ?

La Mpox est une maladie virale contagieuse transmise par contact direct avec des animaux ou des humains infectés (sang, fluides corporels, lésions cutanées), contact indirect via des objets contaminés (vêtements, literie) et contact physique ou sexuel étroit, projection de gouttelettes respiratoires ou contact avec les muqueuses.

Lire aussi  Togo : Jean-Pierre Fabre apporte son soutien aux prochaines manifestations

Les symptômes comprennent fièvre, signes non spécifiques et éruptions cutanées. Bien que la plupart des cas guérissent, les cas graves peuvent être mortels.

Réponse du gouvernement togolais

Le Ministère de la Santé et de l’Hygiène publique a mis en place :

  1. Une surveillance renforcée et des systèmes d’alerte précoce.
  2. Une prise en charge médicale organisée pour les cas suspects.
  3. Des campagnes de sensibilisation sur la prévention et la reconnaissance des symptômes.
Lire aussi  L'aéroport de Lomé étend sa capacité et accueille désormais les gros-porteurs

Mesures préventives pour le public

Les résidents sont invités à :

  • Se laver les mains fréquemment à l’eau claire et au savon.
  • Se couvrir le nez et la bouche en cas de toux ou d’éternuements (masque recommandé).
  • Éviter tout contact avec le sang ou les fluides corporels des personnes infectées.
  • Signaler immédiatement les cas suspects aux professionnels de santé pour une prise en charge rapide.
Lire aussi  Togo : Faure Gnassingbé frappe fort ! Plus de 500 soldats radiés de l’armée

Le gouvernement souligne que la détection précoce améliore les chances de guérison et compte sur la responsabilité collective pour freiner la transmission.