Baltasar Engonga, le directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) en Guinée équatoriale, se retrouve plongé dans un scandale. Déjà visé par une enquête pour fraude, il se retrouve impliqué dans une affaire de vidéos compromettantes, retrouvées lors de perquisitions à son domicile et dans son bureau.
Ces enregistrements, qui le montrent en train d’avoir des interactions intimes avec les épouses de hauts responsables, soulèvent de sérieuses questions sur l’intégrité et l’éthique au sein de l’administration. La révélation de ces vidéos a provoqué une onde de choc au sein du public et des milieux politiques, incitant de nombreuses voix à réclamer une enquête approfondie.
Des personnalités influentes, y compris l’épouse du directeur général de la police et des proches de membres de la famille présidentielle, apparaissent dans ces enregistrements controversés. Dans une vidéo qui a fait surface, Engonga a réagi sur la télévision guinéenne.
Selon les séquences qui circulent sur les réseaux sociaux, il a nié être la personne dans les vidéos et évoque l’utilisation de l’IA dans le but de le destituer. Ce dernier a également accusé des personnes voulant renverser son père qui est le président du CEMAC et prendre son poste.