Révision constitutionnelle en RDC : Soupçonné de briguer un troisième mandat, Félix Tshisekedi réagit

Lors de son passage à Lubumbashi le 16 novembre 2024, le président congolais Félix Tshisekedi a clarifié une situation de méfiance croissante en écartant la possibilité d’une révision constitutionnelle pour briguer un troisième mandat à la tête de la République Démocratique du Congo (RDC).

Il a exprimé sa détermination à ne pas se laisser influencer par ceux qui propagent cette rumeur, déclarant : « Personne ne changera mon avis sur cette question. » Tshisekedi a également mis en garde l’opposition, qu’il accuse de vouloir manipuler l’opinion publique, en affirmant que leurs discours n’avaient aucun lien avec une prétendue volonté de troisième mandat.

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Félix Tshisekedi, qui a été élu pour la première fois en 2018 et réélu en 2023, a souligné qu’il n’avait pas l’intention de s’éterniser au pouvoir. Il a affirmé que son objectif principal reste le bien-être de ses concitoyens et le développement du pays, précisant qu’il aspire à une vie normale après sa présidence.

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Il a insisté sur l’importance d’un leadership responsable, affirmant : « Je vais devenir ex-Président et je veux vivre dans mon pays auprès des miens. » Ces déclarations visent à apaiser les craintes d’une dérive autoritaire alors que le pays se prépare à de futures élections.

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