La sélection du porte-drapeau des Jeux olympiques (JO) de Paris 2024 a en effet suscité une conversation sur les critères établis par le Comité national olympique et sportif français (CNOSF). Clarisse Agbégnénou, figure emblématique du judo, a été écartée de la possibilité de porter le drapeau.
La judokate d’origine togolaise est confrontée à une règle qui empêche les athlètes ayant déjà eu cet honneur de le faire à nouveau. Cette règle a suscité un débat sur son équité, car elle disqualifie également d’autres athlètes populaires comme Teddy Riner, Kylian Mbappé et Antoine Dupont pour leur première participation aux Jeux olympiques ou en raison d’une participation antérieure.
Clarisse Agbégnénou exprime sa frustration
La réaction d’Agbégnénou sur les médias sociaux reflète sa frustration face à cette situation, car elle estime qu’il y a un décalage entre la préférence du public et les règlements du CNOSF. Le processus de sélection, qui implique que les athlètes votent pour leur représentant, semble l’avoir mise à l’écart malgré ses réalisations et le soutien dont elle bénéficie de la part du public.
Exceptionnel! 😂 Ce sondage tombe à pic 👌🏼
— AGBÉGNÉNOU Clarisse (@Gnougnou25) March 12, 2024
Il y a les français et les chiffres qui expriment une certaine volonté et de l’autre côté des personnes œuvrent en back stage pour imposer des conditions discriminantes pour designer les porte drapeau 🥴🙄https://t.co/1wbrt0AT9F
Le débat sur les critères de sélection des porte-drapeaux aux JO Paris 2024 se poursuit, avec des opinions divergentes sur ce qui devrait constituer les qualifications pour ce rôle prestigieux.
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