Jon Jones, l’un des noms les plus célèbres du MMA, a récemment découvert un lien surprenant avec le Togo en retraçant son héritage africain grâce à un test ADN.
Le combattant, largement connu sous le nom de « Bones », a fouillé dans ses origines en attendant un éventuel accord pour affronter Francis Ngannou, une légende camerounaise du MMA, dans ce que les fans appellent le combat de la décennie.
Une plongée profonde dans l’ascendance africaine
Comme de nombreuses personnalités publiques, Jon Jones a opté pour un test ADN pour explorer sa lignée. Les résultats ont mis en évidence ses diverses racines africaines, montrant qu’il est :
- 42 % Nigérian,
- 24 % Camerounais,
- 16 % Malien,
- 5 % Togolais et Béninois, et
- 4 % Anglais.
Bien que la majorité de ses origines le rattachent fortement au Nigéria, le test a confirmé des liens plus petits mais significatifs avec le Togo et le Bénin voisin.
Jon Jones, un combattant reconnu mondialement
Jon Jones s’est toujours identifié à sa nationalité britannique, mais ses racines africaines ajoutent de la profondeur à son attrait mondial. Avec un impressionnant palmarès en MMA de 27 victoires sur 28 combats (son seul défaut étant une disqualification), Jones est largement considéré comme l’un des plus grands combattants de tous les temps.
Les fans attendent avec impatience un face-à-face entre Jon Jones et Francis Ngannou. Le combat potentiel devrait régler le débat en cours sur le plus grand combattant de MMA de tous les temps (GOAT) et consolider davantage l’héritage de Jones dans le sport.
