Un article de 2016 du tabloïd britannique The Sun refait surface et fait sourire les internautes : il prédisait qu’en 2025, les femmes privilégieraient les robots pour des relations sexuelles au détriment des hommes.
Basé sur les propos du futurologue Ian Pearson, l’article avançait que l’évolution technologique permettrait aux machines de supplanter les humains dans ce domaine. Toutefois, cette prédiction a été exagérée. Ian Pearson indiquait en réalité que d’ici 2050 et non 2025 les interactions sexuelles avec des robots ou des appareils électroniques seraient plus courantes qu’entre deux personnes.
Il justifiait ce scénario par les complications émotionnelles dans les relations humaines et la montée des technologies immersives comme la réalité virtuelle. Cette prédiction a suscité plus d’amusement que de sérieux à l’approche de la nouvelle année, notamment à cause de l’erreur de date commise par The Sun.
Si les jouets connectés connaissent une popularité croissante, les robots sexuels, eux, sont encore loin d’être prêts à s’intégrer dans les foyers. La futurologie, bien qu’intrigante, est souvent critiquée pour ses projections spectaculaires destinées à attirer l’attention plus qu’à anticiper des réalités scientifiques.
