« Le Cameroun est à refaire », Lady Ponce réagit à la démission de Samuel Eto’o
Lady Ponce chanteuse camerounaise, estime que l’actuel président de la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT), Samuel Eto’o est persécuté et que le Cameroun doit être reconstruit.
Malgré les mauvais résultats de la FECAFOOT il y a près de deux ans, elle est convaincue que Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football, est injustement visé. Dans une interview accordée le mardi 6 février 2024, elle lui a exprimé son soutien, l’appelant son frère.
Lady Ponce constate que ceux qui détournent les fonds publics sont aimés, alors que les jeunes qui gagnent dignement leur argent sont détestés. Lady Ponce souligne également le fait que depuis que son frère Samuel Eto’o a rejoint la Fecafoot, celle-ci est devenue une plaque tournante des manœuvres politiques, son frère étant injustement pris pour cible.
La chanteuse compatit avec son frère et reconnaît le traitement injuste dont il a fait l’objet.
Elle conclut en exprimant sa consternation face au niveau de haine sur les médias sociaux.
« Mon frère adoré comme je te comprends. Ils aiment ceux qui détournent les caisses du trésor public. Ils détestent les jeunes comme toi qui ont gagné dignement leur argent. Depuis que tu es à la Fecafoot, ils ont transformé la Fecafoot en présidence de la République, comme si c’est toi le président camerounais, pour régler leurs problèmes. Ils ont créé ce qu’on appelle la mise à mort sur toi pour te détruire. Il faut à tous les prix, par tous les moyens tuer son frère en le salissant, en le dénigrant matin, midi soir. Comme si le football peut résoudre 1% des problèmes que traverse le Cameroun. Matin midi soir, Eto’o, Eto’o, Eto’o et ils sont contents comme si tu es l’enfant d’un animal. Mon frère adoré rien ne t’arrivera. Tu es un enfant béni de Dieu et leurs haines envers toi ne changera pas qui tu es et n’enlèvera jamais tes bénédictions. C’est terrible le niveau de haine sur les réseaux sociaux. Les jeunes qui s’acharnent sur un jeune alors qu’ils disent vouloir le changement. Le Cameroun est un pays à refaire »,