Voulez-vous construire une carrière qui en vaut vraiment la peine ? Travailler au Groupe de la Banque mondiale vous offre une opportunité unique d’aider nos clients à résoudre leurs plus grands défis de développement.
Le Groupe de la Banque mondiale est l’une des plus grandes sources de financement et de connaissances pour les pays en développement ; un partenariat mondial unique de cinq institutions dédiées à mettre fin à l’extrême pauvreté et à stimuler la prospérité sur une planète vivable. Avec 189 pays membres et plus de 120 bureaux dans le monde, nous travaillons avec des partenaires des secteurs public et privé, investissant dans des projets révolutionnaires et utilisant les données, la recherche et la technologie pour développer des solutions aux défis mondiaux les plus urgents. Pour plus d’informations, visitez www.worldbank.org
Région Afrique orientale et australe (AFE) :
La Banque mondiale est un partenaire de longue date de l’Afrique orientale et australe. Il dispose d’un portefeuille actif de 361 opérations totalisant 76,3 milliards de dollars couvrant des secteurs clés de la région tels que l’agriculture, le commerce et les transports, le numérique, l’énergie, l’éducation, la santé, l’eau et l’assainissement – le tout pour soutenir la création d’emplois, l’égalité des sexes, la réduction de la pauvreté et des vies meilleures.
Contexte de la RDC :
La République démocratique du Congo (RDC), de la taille de l’Europe occidentale, est le plus grand pays d’Afrique subsaharienne. La RDC est dotée de ressources naturelles exceptionnelles, notamment de minéraux tels que le cobalt et le cuivre, d’un potentiel hydroélectrique, d’importantes terres arables, d’une immense biodiversité et de la deuxième plus grande forêt tropicale du monde.
La plupart des habitants de la RDC n’ont pas bénéficié de cette richesse. Une longue histoire de conflits, de bouleversements et d’instabilité politiques ainsi que de régimes autoritaires ont conduit à une grave crise humanitaire persistante. À cela s’ajoutent des déplacements forcés de populations. Ces caractéristiques n’ont pas changé de manière significative depuis la fin des guerres du Congo en 2003. La RDC fait partie des cinq pays les plus pauvres du monde. En 2022, près de 62 % des Congolais, soit environ 60 millions de personnes, vivaient avec moins de 2,15 dollars par jour. Environ une personne sur six vivant dans une pauvreté extrême en Afrique subsaharienne vit en RDC.
L’engagement de la Banque mondiale en RDC est guidé par un Cadre de partenariat pays (CPF) qui est réévalué et renouvelé en moyenne tous les cinq à six ans. Le CPF de la République démocratique du Congo pour 2022-2026 met l’accent sur le développement humain, avec un engagement à aider la RDC à améliorer l’accès et la qualité des services de base tels que l’éducation, la santé et la protection sociale. Le CPF met également fortement l’accent sur la lutte contre les facteurs de fragilité, de conflit et de violence, ainsi que sur l’atténuation des impacts des crises sanitaires et le renforcement de la résilience aux chocs et au changement climatique. La protection de la forêt tropicale de la RDC en s’attaquant aux facteurs de déforestation et de dégradation des forêts est également au premier plan du CPF, car les forêts représentent une ressource de première nécessité pour la majorité des populations les plus pauvres de la RDC.
Au 31 août 2023, le portefeuille de la Banque mondiale en RDC totalisait 8,6 milliards de dollars, avec 23 projets nationaux (8,2 milliards de dollars) et trois projets régionaux (452 millions de dollars). Les engagements couvrent : la gestion économique, la gouvernance et le développement du secteur privé ; capital humain (santé, éducation, protection sociale) ; développement durable (infrastructures et connectivité, agriculture et sécurité alimentaire, accès à l’électricité et à l’eau, développement urbain) ; l’autonomisation des femmes, ainsi que la prévention et la réponse à la violence basée sur le genre.
Pour plus d’informations, visitez www.worldbank.org/en/country/drc
Vice-Présidence Relations Externes et Entreprises (ECR) :
La mission des Relations extérieures et d’entreprise (ECR) est d’aider à fournir un soutien financier et politique au Groupe de la Banque mondiale, à renforcer le rôle du Groupe de la Banque en tant que leader d’opinion mondial en matière de développement en améliorant et en préservant sa réputation, et en soutenant les équipes opérationnelles pour atteindre les objectifs des pays. résultats. ECR gère les communications d’entreprise et l’engagement mondial avec les principales parties prenantes, notamment les médias, la société civile, les fondations, le secteur privé, les pays donateurs et les organisations internationales, ainsi que l’engagement des employés. ECR gère également les communications stratégiques pour les régions et les pratiques mondiales de la Banque mondiale et dirige la gestion du risque de réputation.
Relations extérieures et d’entreprise pour l’Afrique orientale et australe (ECRAE) :
Le Département des relations extérieures et d’entreprise pour l’Afrique orientale et australe (ECRAE) gère les communications stratégiques à l’appui du travail de la Banque dans la région. Le programme de communication vise en particulier à renforcer la compréhension et le soutien au travail de la Banque mondiale et à garantir que l’ensemble des points de vue et des informations soient pris en compte dans le processus décisionnel de la Banque. La mission de l’ECRAE est de se connecter et de s’engager avec diverses parties prenantes, de promouvoir un débat éclairé et fondé sur des données probantes sur le développement dans la région et d’améliorer la réputation de la Banque en tant que partenaire de développement efficace pour les pays de la région. Les publics clés d’ECRAE comprennent des responsables gouvernementaux, des groupes de réflexion et des chercheurs, des chefs d’entreprise, des organisations de la société civile, des partenaires de développement, des journalistes et des décideurs internes au sein de la Banque mondiale.
Responsabilités:
Le responsable des affaires extérieures devra développer un récit clair et une communication stratégique autour des questions clés, construire des réseaux de parties prenantes efficaces pour soutenir la transformation verte, résiliente et inclusive de la RDC, déployer de manière proactive des stratégies de plaidoyer et de campagne, gérer le risque de réputation, diffuser les résultats et soutenir les communications internes.
Les tâches et responsabilités spécifiques comprennent :
- Développement et mise en œuvre de stratégies de communication : Responsable de la planification, de la conception et de la mise en œuvre de stratégies visant à promouvoir une communication efficace avec des publics externes et internes sur les opérations, les produits de recherche et les campagnes financés par la Banque mondiale. Aider à déterminer les interventions de contenu et de communication les plus efficaces pour relever les défis.
- Gestion des risques et des problèmes liés aux opérations à haut risque en RDC : Surveiller les perceptions, suivre les changements d’opinion et répondre aux demandes de renseignements. Publiez et regroupez des informations sur les objectifs et les jalons du projet. Fournir une analyse de l’économie politique, y compris une surveillance régulière des médias.
- Partenariats et relations avec les parties prenantes : identifier les parties prenantes, les leaders d’opinion et les organisations influentes en RDC et orienter une stratégie d’engagement avec ces parties prenantes, qui peut aller des médias et parlementaires aux organisations confessionnelles en passant par les associations d’affaires. Responsable de la convocation des groupes de parties prenantes pour des consultations et des dialogues structurés autour des projets, des résultats des connaissances et des priorités de développement du pays, ainsi que des points de presse réguliers et d’autres engagements ad hoc.
- Production de produits de communication : Responsable de la planification et de la fourniture d’une gamme de produits convaincants qui racontent l’histoire des objectifs opérationnels, des résultats et des connaissances de la Banque mondiale en RDC – allant des communiqués de presse et articles d’opinion aux fonctionnalités Web, vidéos documentaires, brochures. , questions-réponses, notes d’information, discours et mises à jour du site Web du pays et des réseaux sociaux associés de la Banque mondiale.
- Support aux opérations : Fournir des conseils et un soutien aux équipes opérationnelles, ainsi qu’une contribution tout au long du cycle des projets, y compris des commentaires lors de la préparation du projet.
Les critères de sélection
- Maîtrise avec 5 années d’expérience pertinente ou baccalauréat avec 10 années d’expérience pertinente, dans une discipline pertinente (communication, journalisme, affaires internationales ou autres domaines connexes).
- Excellente maîtrise écrite et orale de l’anglais et du français, et capacité à transmettre des idées complexes dans un style créatif, clair, direct et vivant.
- Solide compréhension et expérience du contenu numérique et des médias sociaux.
- Compréhension suffisante des concepts de gestion de projet pour proposer et élaborer des ébauches de plans et de stratégies de communication avec un minimum de supervision.
- Capable d’appliquer des outils, des méthodologies et des processus standard de gestion de projet ; capable d’identifier et d’atténuer les risques du projet ainsi que de gérer les problèmes du projet.
- Expérience de travail dans une organisation internationale et sur des questions de développement.
- Connaissance et expérience de travail avec le gouvernement et les institutions publiques de la République démocratique du Congo, idéalement nationales et infranationales, les OSC, les universités et d’autres acteurs clés en RDC.
Connaissance approfondie des tendances internationales et des enjeux politiques/économiques liés au développement. - Solides compétences diplomatiques, interpersonnelles et de travail en équipe ; sensibilité au travail dans un environnement multiculturel; attitude flexible face aux demandes changeantes.
- Capacité démontrée et compétences organisationnelles personnelles pour effectuer plusieurs tâches à la fois, prendre des initiatives, s’approprier personnellement et être responsable pour respecter les délais, travailler sous pression et atteindre les résultats convenus.