Josey a récemment abordé une question intrigante lors d’une interview avec la presse locale concernant l’interdiction par son partenaire, Serey Dié, de danser le mapouka.
L’artiste a expliqué que cette demande n’est pas motivée par la jalousie, mais plutôt par une attention particulière de la part de Serey Dié. Elle a déclaré que, comme tout Ivoirien, il ressent le besoin de préserver l’unicité de ce qu’il aime, affirmant que le fait de voir quelque chose qu’on adore exposé au grand jour peut en diminuer la valeur.
Josey a illustré son propos par une métaphore, comparant cette situation à celle d’un parfum ou d’une tenue : quand on apprécie quelque chose, on ne souhaite pas le voir adopté par tout le monde. Elle a souligné que l’ancien capitaine de l’équipe nationale ivoirienne agit par instinct de protection, et ce, par amour.
En fait, elle a avoué apprécier ce côté possessif, le qualifiant de sa « chasse gardée » et y trouvant une forme de tendresse.