Une partenaire de Baltasar Ebang Engonga, ancien directeur général de l’ANIF, a récemment exprimé son indignation lors d’un témoignage diffusé sur la télévision nationale.
Cet entretien a suscité l’attention après que la femme, dont le visage a été flouté pour protéger son identité, ait accusé Ebang Engonga de conserver des vidéos intimes sans son consentement. Bien qu’elle ait initialement consenti à ce que leurs rapports soient filmés, elle a été choquée de découvrir que ces images circulaient sur les réseaux sociaux sans qu’elle ait donné son accord pour leur diffusion.
Cette dernière a déclaré : « Je voudrais savoir d’où proviennent ces vidéos qui circulent sur les réseaux sociaux et pourquoi il les a conservées sans mon consentement ».
Elle se décrit désormais comme une victime, se sentant « humiliée » et profondément affectée par la façon dont cela a entaché sa réputation. Ce scandale de sextapes a secoué l’administration équato-guinéenne, en particulier en raison des lieux où les vidéos ont été tournées, y compris dans des bureaux gouvernementaux. Les fuites sont survenues alors qu’Ebang Engonga était déjà en détention pour une affaire de détournement de fonds publics.
En réponse à cette situation délicate, le président de Guinée équatoriale a décidé de le destituer, affirmant ainsi sa volonté d’envoyer un message clair aux membres de l’administration sur l’importance de l’intégrité et du respect des personnes.
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