La tragique mort de Bristy, une étudiante de 18 ans retrouvée au pied de sa résidence Crous à Paris après une chute du 6e étage, suscite de vives interrogations parmi ses proches.
Ce drame, survenu le 1er février, demeure entouré de mystère, alors que les enquêteurs tentent de déterminer s’il s’agit d’un suicide ou d’un acte criminel. La famille, déjà bouleversée, exprime son incompréhension et son chagrin face à cette perte soudaine d’une jeune femme qui avait de nombreux projets.
Son beau-père écarte la thèse du suicide, affirmant qu’aucun signe ne laissait présager une telle tragédie. Les circonstances entourant la chute de Bristy sont également troublantes, notamment la présence de son petit ami dans l’appartement, où du matériel pour la consommation de drogue a été découvert.
Des témoignages d’une violence verbale entendue entre eux le matin des faits soulèvent également des craintes liées à une potentielle théorie du féminicide. L’enquête se poursuit, mais aucun indice concret n’établit encore une cause définitive de la mort.
Alors que le mystère demeure, la mère de Bristy exprime également son désespoir face à la lenteur de l’enquête : « C’est très dur, c’est très dur. On ne sait pas. On est dans l’attente du procureur », déplore-t-elle, soulignant qu’elle n’a pas pu accéder au corps de sa fille en raison de l’absence de permis d’inhumation, qui reste à l’Institut médico-légal.
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