Le Service de l’immigration et des douanes des États-Unis (ICE) a révélé des chiffres alarmants sur les expulsions qui seront bientôt opérées avec l’arrivée de Donald Trump à la Maison Blanche.
Au 24 novembre 2024, plus de 1,4 million de non-citoyens étaient inscrits au registre des non-détenus et faisaient l’objet d’une mesure d’expulsion définitive. Parmi eux, des ressortissants togolais ont été identifiés en vue d’être expulsés, ce qui reflète l’impact plus large des politiques d’immigration de l’ère Trump.
Un regard plus approfondi sur les chiffres
Le registre des non-détenus regroupe les individus présents aux États-Unis qui ont reçu l’ordre officiel de partir. L’ICE a classé ces individus par nationalité, révélant 3 600 Nigérians, 1 200 Ivoiriens et 427 Togolais parmi ceux qui doivent être expulsés.
Dans le même temps, des pays comme le Bénin, la Biélorussie et les Bahamas affichent des chiffres plus faibles, mais l’ampleur globale des opérations d’expulsion reste massive.
Un phénomène répandu
Les ambassades et les organisations internationales sont de plus en plus impliquées dans la gestion des cas d’expulsion, en particulier pour les pays où l’instabilité politique ou les préoccupations humanitaires compliquent le processus. Leur rôle consiste notamment à négocier des retours en toute sécurité et à relever les défis posés par les rapatriements forcés.
Ces chiffres reflètent ainsi un changement significatif dans les politiques d’immigration américaines sous la direction de Donald Trump. Ces nouvelles mesures touchent des milliers de personnes à travers le monde.
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