L’équipe de transition de Donald Trump a révélé que plusieurs candidats prévus pour rejoindre son cabinet ont été la cible de menaces à la bombe et d’incidents de « swatting », des situations où des appels d’urgence mensongers entraînent des interventions policières spectaculaires.
Dans un communiqué publié récemment, Karoline Leavitt, porte-parole de l’équipe de transition, a indiqué que ces menaces, qualifiées de violentes et anti-américaines, mettaient en péril non seulement la vie des personnes concernées, mais aussi celle de leurs familles.
Bien que peu de détails aient été fournis, la déclaration met en lumière la gravité de la situation et les préoccupations qu’elle soulève en matière de sécurité pour les futurs membres du gouvernement.
Parmi les individus ciblés par ces menaces figurent des personnalités clés comme Susie Wiles, qui devrait être nommée cheffe de cabinet de la Maison-Blanche, ainsi qu’Elise Stefanik, pressentie pour devenir l’ambassadeur des États-Unis aux Nations Unies.
D’autres noms notables incluent Howard Lutnick, désigné comme secrétaire au commerce, et Brooke Rollins, future ministre de l’Agriculture.
En réponse à ces incidents alarmants, les autorités compétentes se sont mobilisées pour assurer la sécurité des personnes impliquées, conscient de l’importance de protéger ceux qui ont été appelés à servir dans l’administration Trump à l’approche de sa prise de fonctions.
