Alors que les discussions s’intensifient en vue de l’organisation conjointe de la Coupe du monde 2030 par l’Espagne, le Maroc et le Portugal, des plans provisoires de répartition des stades se dessinent.
Bien que rien ne soit définitif, l’Espagne vise à obtenir un site supplémentaire, ce qui porterait son nombre à 11, dans le cadre de négociations et sous l’impulsion du Maroc.
Répartition préliminaire des stades
Selon le document de travail actuel, la répartition des sites envisagée est de 11 pour l’Espagne, six pour le Maroc et trois pour le Portugal. Cette répartition, qui fera l’objet de discussions ultérieures, reflète les efforts de l’Espagne pour jouer un rôle plus important dans l’organisation de l’événement.
L’Espagne avait initialement proposé 10 sites, mais elle aurait cherché à étendre sa présence à 11 sites. Quinze stades se sont portés candidats, dont des sites renommés tels que Balaídos, San Mamés, Santiago Bernabéu et le Camp Nou. La décision finale sur le nombre de stades espagnols n’a pas encore été prise.
Le Maroc a présenté un plan ambitieux avec six sites proposés : Rabat, Casablanca, Tanger, Agadir, Marrakech et Fès. La nation nord-africaine a l’intention de construire de nouveaux stades pour ces sites, démontrant ainsi son engagement à accueillir une partie importante du tournoi.
Discussions politico-sportives sur la qualité des sites
Alors que le débat porte sur le nombre de sites, le point central sera la qualité des matches attribués à chaque site, déterminant les rôles en huitièmes de finale, quarts de finale, demi-finales et finale. Le nouveau Santiago Bernabéu apparaît comme un candidat probable pour le match final.
Des représentants des trois pays hôtes, ainsi que des parties prenantes des États-Unis (organisateurs de la Coupe du monde 2026) et des Saoudiens (organisateurs de la Coupe du monde 2034), ont participé à des séances de travail approfondies avec la FIFA afin d’aborder divers aspects des prochaines Coupes du monde.
