La chroniqueuse de télévision Cassandra Assamoi vient d’apporter son soutien à la « présidente » des femmes de ménage de Côte d’Ivoire, Sarah Koffi.
Face aux difficultés rencontrées par certaines femmes de ménage, elle demande aux employeurs de faire preuve d’humanisme.
‘’J’ai payé les cours du soir de l’une de mes nounous car je veux qu’elle parte à l’école et réussisse sa vie’’.
Cassandra Assamoi aurait aimé que cet acte altruiste soit partagé par les privilégiés de la société qui emploient des femmes de ménage. Cependant, les réalités vécues sur le terrain par ces jeunes femmes sont souvent différentes.
Certains témoignages affirment même que les femmes de ménage n’ont pas le droit de consommer les aliments qu’elles cuisinent. On oublie au passage les fameux dessous (de la patronne ou du patron) qu’elles doivent laver, ainsi que les chantages divers liés au sexe.
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Cassandra Assamoi est déterminée à faire en sorte que Sarah Koffi puisse retourner à l’école. « Elle doit retourner à l’école après avoir économisé de l’argent. Une ancienne domestique avait déjà fait cette proposition à Sarah Koffi, mais chacune de ces jeunes femmes a besoin d’apprendre d’elle.
Cassandra Assamoi souhaite également que Sarah Koffi puisse bénéficier d’une rescolarisation : ‘’Elle doit repartir à l’école après avoir fait des économies’’. Cette proposition, une ancienne servante l’avait déjà faite à Sarah Koffi mais encore faudrait-il que chacune (de ces jeunes femmes) en prennent de la graine.