Le capitaine Ibrahim Traoré, président de la transition au Burkina Faso, a exprimé sa volonté de voir instaurée une justice équitable et accessible pour l’ensemble des citoyens du pays.
Lors de la première rencontre statutaire de 2024 avec le Conseil supérieur de la magistrature (CSM), il a souligné l’importance de réformer le système judiciaire pour qu’il soit plus réactif aux besoins et aux attentes de la population.
Il a insisté sur l’objectif d’offrir une justice réellement juste, qui traite chaque citoyen de manière égale, sans distinction.
Dans son discours, Ibrahim Traoré a encouragé le CSM à faire preuve de diligence et de transparence dans la gestion des affaires judiciaires, en particulier celles liées à la corruption, afin de restaurer la confiance du public dans l’administration de la justice.
Sa déclaration met en lumière une volonté de transformation et d’amélioration de l’appareil judiciaire, ce qui pourrait avoir un impact significatif sur la perception et l’accès à la justice au Burkina Faso.
