Après la France, ce pays lutte pour le droit à l’avortement

Le 8 mars dernier à Varsovie, des milliers de personnes se sont rassemblées devant le palais présidentiel pour demander la légalisation de l’avortement en Pologne. Alors que le Parlement a récemment voté en faveur de la pilule du lendemain, le président, soutien des ultraconservateurs, a opposé son veto, retardant ainsi le processus. Les manifestantes ont exprimé leur colère et leur frustration face à cette situation, revendiquant le droit de disposer de leur corps.

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Maria, une jeune Polonaise de 18 ans, a témoigné de l’importance de pouvoir accéder à la pilule du lendemain sans ordonnance. Elle a partagé son expérience personnelle et souligné que toutes les femmes devraient avoir un accès facile à ce moyen de contraception d’urgence. Les militantes polonaises ont également salué la récente inscription du droit à l’avortement dans la Constitution française, considérée comme une avancée majeure pour les droits des femmes.

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Pour les activistes présentes lors de la manifestation, la lutte pour la légalisation de l’avortement se joue principalement sur la scène politique nationale. Certaines voix se sont élevées contre l’idée d’inscrire ce droit dans la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne, soulignant les réticences du gouvernement polonais à suivre les directives européennes. Ces militantes appellent le Parlement polonais à prendre des mesures concrètes en faveur du droit à l’avortement lors de sa prochaine réunion en avril.

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