L’Alliance nationale pour le changement (ANC) a clarifié sa position sur le nouveau Front de l’opposition contre la Constitution récemment adoptée.
Selon son porte-parole, Éric Dupuy, il ne s’agit pas d’une coalition politique traditionnelle mais plutôt d’un cadre de concertation visant à structurer la réponse de l’opposition.
Une approche différente
L’ANC insiste sur le fait que tous les partis participants doivent signer une charte, garantissant confiance, solidarité et unité dans la lutte contre la nouvelle Constitution.
Eric Dupuy a souligné les échecs passés des alliances de l’opposition, notamment le FRAC, le C14, le CST et le CAP 2015, qui ont souffert de conflits internes et d’un manque de cohésion.
« Nous avons essayé des regroupements de partis politiques et cela a toujours été un échec, car nous n’étions pas animés par les mêmes volontés et directives », a-t-il expliqué.
Malgré la nouvelle approche méthodique de l’ANC, les chances de renverser la Constitution déjà promulguée semblent minces. Les nouvelles institutions sont en place et un retour à l’ancien système semble impossible.
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