Les États-Unis ont récemment décidé d’annuler leurs exercices militaires et la formation de soldats provenant de pays accusés de comportements anti-démocratiques ou de violations des droits de l’Homme. Selon certains médias, cette décision a été prise en réponse à l’attention médiatique portée à ces situations.
Elle concerne six États africains, à savoir le Soudan, le Niger, le Mali, le Burkina Faso, l’Érythrée et l’Éthiopie. Initialement prévus pour s’entraîner avec les forces armées de ces pays, les troupes américaines ont annulé leurs projets de collaboration en raison des critiques envers le gouvernement de Joe Biden pour son soutien à Israël malgré les pertes civiles à Gaza et sa campagne militaire au Yémen.
Le revirement du Pentagone a été motivé par la pression exercée sur le gouvernement de Joe Biden, notamment par des membres du parti démocrate, pour s’assurer que les troupes associées à des gouvernements issus de coups d’État ne participent pas aux exercices dirigés par les États-Unis. Pour le moment, il n’est pas confirmé si le Pentagone mettra fin à ses projets avec d’autres pays.
								
				







