L’affaire controversée de Baltasar Ebang Engonga, ancien directeur général de l’Agence nationale d’investigation financière (ANIF) en Guinée équatoriale, a pris un tournant surprenant avec les résultats de ses tests de dépistage du VIH.
Ce dernier, effectué avant sa sortie de prison, a révélé qu’il n’était ni séropositif ni porteur d’une infection sexuellement transmissible.
Ces résultats ont joué un rôle déterminant dans son acquittement, surtout après la diffusion publique de vidéos compromettantes le montrant en relation avec plus de 400 femmes, incluant apparemment des épouses de personnalités influentes du gouvernement de Malabo.
La chute de Baltasar, fils de Balthazar Engonga Edjo’o, président de la CEMAC, a été rapide suite à l’éclatement de ce scandale. Bien qu’aucune coercition n’ait été prouvée dans ses relations, une plaignante a accusé Baltasar d’avoir enregistré certains actes sans son consentement.
Elle a exprimé son indignation, affirmant qu’elle se sentait trahie par la diffusion de ces vidéos, alors que celles-ci étaient censées rester privées.
