Dans un nouveau livre intitulé « American Woman The Transformation of the Modern First Lady, from Hillary Clinton to Jill Biden », écrit par Katie Rogers, correspondante du New York Times à la Maison Blanche, le point de vue du président Joe Biden sur le mariage occupe le devant de la scène.
Selon des extraits obtenus par Reuters avant la sortie du livre cette semaine, Biden suggère avec humour que la clé d’un mariage durable réside dans le bon sexe. Le livre de 276 pages se penche sur la vie personnelle et les relations de Biden, offrant un aperçu intime de la dynamique de son mariage avec Jill Tracy Jacobs Biden, sa deuxième épouse. Leur voyage, marqué par la tragédie et le triomphe, constitue un fil narratif central au sein du livre. La croyance de Biden en l’importance de l’intimité dans le mariage est soulignée par une remarque franche qu’il a faite à ses collaborateurs, racontée par Rogers. Le président, connu pour son attitude affable, aurait partagé ce sentiment lors d’un échange léger, soulignant le caractère jovial de sa personnalité même dans les moments de réflexion privée.
Jill Biden, figure centrale de la vie et de la présidence de Biden, apparaît comme un personnage central du livre. Leur histoire d’amour a commencé en mars 1975, lorsqu’ils se sont rencontrés lors d’un rendez-vous à l’aveugle, qui a finalement abouti à un mariage le 17 juin 1977 à la chapelle des Nations Unies à New York.
Le livre révèle la complexité de leur relation, y compris les défis auxquels ils ont été confrontés après la perte tragique de la première épouse de Biden, Neilia, et de sa petite fille dans un accident de voiture en 1972. Malgré le chagrin et les obstacles, la persistance de Biden à rechercher l’affection de Jill transparaît, avec le livre détaillant ses multiples propositions avant qu’elle n’accepte de l’épouser. Au-delà des anecdotes personnelles, le livre explore également l’intersection de la vie personnelle et politique de Biden.
Il évoque notamment la décision de Biden de ne pas se présenter à la présidence en 2004, influencée en partie par la réticence et les protestations de Jill contre une éventuelle candidature, comme le révèle le récit de Rogers.
