Dans une sortie publique fracassante, la capitaine de l’équipe nationale féminine du Togo, les Éperviers dames, Nathalie Badate, a brisé le silence sur les prétendues « faiblesses » et « corruptions » au sein de l’encadrement technique. Sa sortie provoque un tollé sur les réseaux sociaux et révèle une crise profonde dans la gouvernance du football féminin.
Une tempête médiatique s’est abattue sur les réseaux sociaux, menaçant de faire basculer la direction des « Éperviers Dames. Leur capitaine a formulé des accusations explosives. Elle dénonce la corruption et un manque de leadership qui étouffent le potentiel de l’équipe. Des conditions contrastent fortement avec l’environnement professionnel dont elle bénéficie dans son club en France.
La polémique a éclaté lorsqu’un internaute a questionné le contraste saisissant entre les performances exceptionnelles de Badate en club et les prestations décevantes de l’équipe nationale. L’attaquante, qui a inscrit 7 buts et délivré 3 passes décisives en 7 matchs pour son club, Chassieu Décines, n’a pas mâché ses mots.
Dans une réponse directe, elle a déclaré : « Sache que dans mon club actuel, le staff n’est pas corrompu ni faible. Il valorise le travail et surtout, les grands dirigeants ne bénissent pas la médiocrité. Maintenant, à toi de te poser les bonnes questions. »
Cette déclaration choc intervient peu après l’élimination de l’équipe nationale par le Burkina Faso lors des qualifications. Pour de nombreux observateurs, la sortie publique de Badate n’est pas un cas isolé, mais le reflet d’un profond malaise au sein de l’équipe. Des sources internes pointent depuis longtemps du doigt une gestion contestée de l’équipe et un manque de professionnalisme au niveau de l’encadrement technique.
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