Tentative de coup d’état au Tchad : Le gouvernement sort du silence et fournit des détails

Le 8 janvier, le palais présidentiel de N’Djamena, au Tchad, a été attaqué par un groupe armé qui a rapidement été maîtrisé par les forces de sécurité.

Selon les informations fournies par le gouvernement, l’assaut a fait un mort du côté des gardes et a entraîné la perte de 18 des 24 membres du commando, qui aurait été composé de personnes droguées et alcoolisées. Les assaillants, décrits comme un « ramassis de pieds nickelés », se seraient introduits dans le palais en utilisant des armes blanches, plaçant ainsi en alerte les forces de sécurité, qui ont réagi rapidement.

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Le porte-parole du gouvernement, Abderaman Koulamallah, a affirmé que la situation était désormais sous contrôle et a minimisé la menace, décrivant l’attaque comme « désespérée » et sans objectif sérieux. Il a également précisé que le président Mahamat Idriss Déby Itno était présent au palais au moment de l’incident, sans qu’aucune menace ne pèse sur le pays ou ses institutions.

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Les forces armées ont bloqué les accès au palais et déployé des chars pour sécuriser la zone, rassurant ainsi la population. Cet incident a eu lieu peu de temps après la visite de haut niveau du ministre chinois des Affaires étrangères.