Tony Buzbee, l’avocat de la femme qui accuse Jay-Z et Diddy d’agression sexuelle après les MTV Video Music Awards en 2000, a révélé que Jay-Z menait des démarches agressives pour démasquer son cliente.
Dans un document déposé auprès du tribunal du district sud de New York, Buzbee a expliqué que son équipe avait sollicité le maintien de l’anonymat pour sa cliente, désignée sous le nom de Jane Doe.
Face à cela, Jay-Z a déposé une objection à cette demande, mettant ainsi en avant une stratégie qu’il estime inappropriée, mêlant des éléments d’arguments juridiques avec des accusations de diffamation à l’encontre de Buzbee et de son cabinet.
Buzbee a critiqué la réponse de Jay-Z pour sa teneur peu substantielle, la qualifiant de « prétexte » pour formuler des requêtes qui, selon lui, sont conformes à des pratiques contraires à l’éthique.
L’avocat a insisté sur le fait que les communications de l’équipe juridique de Jay-Z n’apportaient pas de preuves concrètes concernant l’identité de la plaignante, mais servaient plutôt à alimenter la polémique entourant ce procès fortement médiatisé.
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En parallèle, Jay-Z, se défendant des accusations, a déclaré que le procès s’inscrit dans une tentative d’extorsion, tout en lançant des critiques personnelles à l’encontre de Buzbee.