« Ton gars, c’est peut-être mon gars », ce qu’on sait de ce groupe WhatsApp qui fait fureur au Togo

Lomé Actu, 14 septembre 2024- Du nouveau à Lomé ! Depuis quelques jours, la toile togolaise est submergée par un nouveau phénomène. Un groupe WhatsApp dénommé « Ton gars, c’est peut-être mon gars » a envahi la capitale, suscitant à la fois amusement et controverse.

Ce groupe, né d’un désir de transparence et de justice, offre aux femmes une plateforme pour démasquer les hommes infidèles. Le principe est simple : une fille envoie la photo de son « gars » et les autres membres du groupe vérifient si cet homme fréquente également l’une d’entre elles.

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Ce système a déjà mené à la découverte de plusieurs infidèles, confirmant la nécessité de ce groupe et son impact sur la vie sentimentale à Lomé.

La tendance est loin de s’arrêter à la capitale togolaise, puisqu’elle est née au Gabon et s’est déjà étendue au Cameroun, au Congo, en Côte d’Ivoire et en Mauritanie, sous des noms similaires comme « Ton gars, c’est sûrement mon gars ».

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L’Afrique entière pourrait bien suivre cette tendance, créant ainsi un mouvement de femmes désireuses de mettre fin à l’infidélité et de garantir un amour plus authentique. Si certains hommes trouvent le concept amusant, d’autres le considèrent comme une menace à leur liberté et dénoncent une atteinte à la dignité.

Pourtant, il est indéniable que ce groupe reflète une réalité sociale : la tromperie dans les relations amoureuses.

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